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De profundis
Collection : Romans
Date de parution : 25/08/2016
Éditeurs :
le cherche midi

De profundis

Collection : Romans
Date de parution : 25/08/2016
Dans un monde à la dérive, une femme en fuite, une fillette murée dans le silence, et une ancienne demeure habitée d'un secret.
Bruxelles, dans un avenir proche. Ebola III a plongé l’Europe dans le chaos : hôpitaux débordés, électricité rationnée, fanatismes exacerbés. Roxanne survit grâce au trafic de médicaments et pense à... Bruxelles, dans un avenir proche. Ebola III a plongé l’Europe dans le chaos : hôpitaux débordés, électricité rationnée, fanatismes exacerbés. Roxanne survit grâce au trafic de médicaments et pense à suivre le mouvement général : s’ôter joyeusement la vie. Mais son ex-mari succombe au virus, lui laissant Stella, une fillette... Bruxelles, dans un avenir proche. Ebola III a plongé l’Europe dans le chaos : hôpitaux débordés, électricité rationnée, fanatismes exacerbés. Roxanne survit grâce au trafic de médicaments et pense à suivre le mouvement général : s’ôter joyeusement la vie. Mais son ex-mari succombe au virus, lui laissant Stella, une fillette étrange dont elle ne s’est jamais occupée. Quand une bande de pillards assassine sa voisine, Roxanne part pour un hameau oublié, où l’attend une ancienne maison de famille. La mère et la fille pourront-elles s’adapter à ce mode de vie ancestral et à cette existence de recluses ?

Entre dystopie et conte fantastique, De profundis est un roman hors normes. Une plongée en enfer, doublée d’une fabuleuse histoire d’amour.
 
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EAN : 9782749151045
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782749151045
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 140 x 220 mm

Ils en parlent

Un conte fantastique à couper le souffle.
Femme Actuelle

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Solitudelitteraire 29/02/2024
    Un vrai plaisir de me plonger à nouveau dans un roman d'Emmanuelle Pirotte. Décrire la cruauté d'une situation n'est pas un problème pour elle et j'avoue que cela me plaît. L'écriture est cash et sans fioritures. L'histoire a aussi une connotation mystique qui surprend mais qui m'a plu. Le livre s'ouvre sur une fin d'un monde, le notre ! L'Europe est dévastée par le virus Ebola3. Nous voicî à Bruxelles, ville cosmopolite, pluri culturelle, ou survit ce qui reste de la population dans une violence sans nom. L'autorité qui fait foi c'est la loi du plus fort. Une femme et sa fille se retrouve sans se connaître. Leur seule chance est de fuir à la campagne. Une maison dans les bois soi disant inhabitée. Un héritage familial peuplé de souvenir. Un Havre de tranquillité de prime abord mais la folie des hommes et la menace d'ebola3 rôde partout. Par dessus tout ça il y a l'amour ! Et il en faut pour survivre dans ce monde apocalyptique. J'ai passé un trés bon moment de lecture.
  • DELOUCoeur 29/05/2023
    Le roman commence comme une dystopie terrifiante, mais en réalité pas si éloignée de ce qui se passe depuis quelques années. (Pandémie de COVID – Réchauffement climatique- catastrophes environnementales- coûts des énergies etc.) Puisqu'il a été écrit vers 2015, le lecteur peut s’imaginer que l’autrice avait un sens de la prédiction, comme un oracle des temps modernes. Pourtant, lors d’une rencontre à un café littéraire, l’hôtesse lui a posé la question. Emmanuelle Pirotte a répondu qu’il faut seulement être attentif aux signes avant-coureurs pour en déduire ce qui va se passer. Le premier personnage qu'on rencontre est Roxane, qui vit à Bruxelles, en vendant à prix d’or des médicaments et autres substances, qui n'ont aucun effet sur la terrible épidémie d’Ébola qui sévit en décimant trois-quarts de la population. Son ex-mari, mourant, lui confie la garde de sa fille, Stella, qu’elle a abandonnée bébé une dizaine d’années plus tôt. C'est une enfant étrange, quasi mutique et semblant autiste. Cette soudaine responsabilité va faire prendre conscience à Roxane qu’il y a peut-être quelque chose à sauver. Elle emmène la fillette dans une maison familiale du village de Saint-Fontaine, dans la commune de Clavier, où elles vont réapprendre des gestes ancestraux pour survivre. Cette partie du roman va prendre l’aspect d’un conte fantastique et initiatique. Une entité venant du Moyen-âge, hante les lieux. Il s'agit d'une âme tourmentée par les horreurs vues et commises lors des guerres auxquelles elle a participé. Le spectre va trouver un certain réconfort auprès de ces deux femmes, elles-mêmes envahies d’angoisses et de remises en question. Ce que j’ai le plus apprécié dans ce livre est que les lieux décrits existent vraiment et que l’on peut en retrouver l’ambiance et les images en surfant sur le Net. J’ai bien aimé. Le roman commence comme une dystopie terrifiante, mais en réalité pas si éloignée de ce qui se passe depuis quelques années. (Pandémie de COVID – Réchauffement climatique- catastrophes environnementales- coûts des énergies etc.) Puisqu'il a été écrit vers 2015, le lecteur peut s’imaginer que l’autrice avait un sens de la prédiction, comme un oracle des temps modernes. Pourtant, lors d’une rencontre à un café littéraire, l’hôtesse lui a posé la question. Emmanuelle Pirotte a répondu qu’il faut seulement être attentif aux signes avant-coureurs pour en déduire ce qui va se passer. Le premier personnage qu'on rencontre est Roxane, qui vit à Bruxelles, en vendant à prix d’or des médicaments et autres substances, qui n'ont aucun effet sur la terrible épidémie d’Ébola qui sévit en décimant trois-quarts de la population. Son ex-mari, mourant, lui confie la garde de sa fille, Stella, qu’elle a abandonnée bébé une dizaine d’années plus tôt. C'est une enfant étrange, quasi mutique et semblant autiste. Cette soudaine responsabilité va faire prendre conscience à Roxane qu’il y a peut-être quelque chose à sauver. Elle emmène la fillette dans une maison familiale du village de Saint-Fontaine, dans la commune de Clavier, où elles vont réapprendre des gestes ancestraux pour survivre....
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  • Zahardonia 21/06/2022
    Je suis un peu partagée par rapport à ce livre : le style est superbe, mais je trouve que l'autrice sombre beaucoup dans le misérabilisme gratuit et un défaitisme exacerbé — ne lisez pas ce livre si vous êtes déprimé-e ! De même, j'ai trouvé que le revirement final de Roxanne est trop rapide et même tardif, au point que ses idées noires deviennent fatiguantes à la longue. J'aurais également être un peu plus dans la tête de Stella. C'est un personnage vraiment intéressant qui aurait mérité plus de développement. Je vous parlais du style : il est acéré, dur, cru et poétique à la fois. D'une intelligence et d'un raffinement qui trachent avec la cruauté du récit. Un régal ! Concernant l'intrigue, on est clairement dans une catabase des plus intéressantes. Surtout quand on voit que la rédemptions des personnages se déroulent alors que le monde s'écroule de plus en plus.
  • Francedewepion 09/04/2022
    Lorsque ce roman a été écrit par Emmanuelle Pirotte en 2016, il était classé dans les cases "dystopie" , "anticipation", "conte", "fantastique". Nous sommes en avril 2022. Les malheurs qui se sont abattus sur le monde depuis l'écriture de ce livre, donnent à croire que l'autrice est une fameuse "voyante" et le roman pourrait ne garder que les cases : "conte" et "fantastique". Il n'y aurait qu'à rajouter "récit", "actualité" et "persécution ". La population mondiale est décimée par le virus Ebola3 . le fanatisme religieux croît, tout comme les violences urbaines, le chaos, le manque de nourriture (surtout dans les grandes villes). La démocratie vacille, seuls les petits et grands trafics permettent encore de survivre. Faute de carburants : plus de voitures, d'électricité, de chauffage. Roxanne , la protagoniste principale de l'histoire vit à Bruxelles. Elle est tout à fait désocialisée et vend de faux médicaments frelatés sensés guérir du virus. Mais voilà que son ex-mari décède de ce virus et lui fait remettre (en contrepartie de son héritage) leur fille Stella. Roxanne , n'ayant aucune fibre maternelle l'avait abandonnée à la naissance. Elle accepte ce "défi" tout en fuyant la ville pour aller vivre à la campagne dans sa maison d'enfance. La petite fille est étrange, parle peu, se méfie. Petit à petit, elles vont se re-socialiser, la petite d'abord, en fréquentant l'école et Roxane en s'occupant peu à peu de son jardin, en créant des liens (parfois tenus) avec les villageois . Et c'est là qu'on tombe dans le fantastique et le conte car la maison est hantée par un fantôme. Un gentil, qui devient "ami" Stella et Roxane. Mais il y a aussi des sortes de sectes qui sévissent un peu partout dans le pays tuant des personnes sur leur chemin. Ce roman m'a interpellée au début à cause de ses étiquettes. C'est que la dystopie est presque devenue réalité et donc plus d'anticipation non plus. Par contre, la deuxième partie reste dans les cases assignées. Et là, j'ai eu un peu plus de mal, car il m'a fallu un certain temps avant de comprendre que le narrateur était un fantôme. Et j'avais l'impression d'avoir affaire à une autre histoire. Bien que vers la fin, il y a des "retours" vers la crise notamment avec ces sectes. Je ne sais pas comment j'aurais réagi si j'avais lu ce livre avant l'arrivée du covid, de la guerre en Ukraine, etc. Aujourd'hui, je trouve ce roman assez déroutant. Même si l'écriture est dynamique au début ,dans la deuxième partie je trouvais qu'il y avait des lenteurs, que c'était trop hétéroclite, trop de thèmes abordés sans vraiment de rapport et je n'étais pas loin de m'ennuyer. Lorsque ce roman a été écrit par Emmanuelle Pirotte en 2016, il était classé dans les cases "dystopie" , "anticipation", "conte", "fantastique". Nous sommes en avril 2022. Les malheurs qui se sont abattus sur le monde depuis l'écriture de ce livre, donnent à croire que l'autrice est une fameuse "voyante" et le roman pourrait ne garder que les cases : "conte" et "fantastique". Il n'y aurait qu'à rajouter "récit", "actualité" et "persécution ". La population mondiale est décimée par le virus Ebola3 . le fanatisme religieux croît, tout comme les violences urbaines, le chaos, le manque de nourriture (surtout dans les grandes villes). La démocratie vacille, seuls les petits et grands trafics permettent encore de survivre. Faute de carburants : plus de voitures, d'électricité, de chauffage. Roxanne , la protagoniste principale de l'histoire vit à Bruxelles. Elle est tout à fait désocialisée et vend de faux médicaments frelatés sensés guérir du virus. Mais voilà que son ex-mari décède de ce virus et lui fait remettre (en contrepartie de son héritage) leur fille Stella. Roxanne , n'ayant aucune fibre maternelle l'avait abandonnée à la naissance. Elle accepte ce "défi" tout en fuyant la ville pour aller vivre à la campagne dans sa maison d'enfance. La...
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  • Zora-la-Rousse 09/03/2022
    Il est des livres particuliers et inclassables, dont on ne sait trop comment s’y prendre pour en parler, et de manière fidèle… Ainsi se classe pour moi De profundis. Un démarrage en fanfare et en mode post-apocalyptique : dans un Bruxelles dévasté par une épidémie mondiale liée au virus Ebola 3, vit Roxanne, une jeune femme débrouillarde qui assure sa survie grâce à de menus larcins. Avec son acolyte Mehdi, elle surnage, au jour le jour, quand soudainement, elle apprend la mort de son ex-mari. Ce dernier, dans sa dernière volonté, lui laisse la charge de leur fille Stella, qu’elle n’a pas vue grandir ni appris à connaître. Devant la violence omniprésente subie par les derniers occupants de la ville, elle choisit de se cacher avec sa fille dans une maison de famille, isolée à la campagne. Pourra-t-elle ainsi échapper à la catastrophe annoncée et nouer, enfin, une relation avec sa fille ? Je suis rentrée avec envie dans ce roman dont toute l’action se déroule en Belgique, pour mon plus grand plaisir, mais me suis trouvée rapidement perplexe. Au cœur du livre s’imbrique un autre livre, le fantastique vient bousculer la science-fiction, et c’est troublant pour la lectrice un peu mono-maniaque que je suis… Et pourtant, j’ai aimé les deux aspects du roman, indépendants et imbriqués, même si cela m’a empêchée de saisir la psychologie des personnages, rendus trop complexes, ou absurdes. Cependant, la magie est là et l’écriture est belle, très personnelle et originale. Je vais approfondir...Il est des livres particuliers et inclassables, dont on ne sait trop comment s’y prendre pour en parler, et de manière fidèle… Ainsi se classe pour moi De profundis. Un démarrage en fanfare et en mode post-apocalyptique : dans un Bruxelles dévasté par une épidémie mondiale liée au virus Ebola 3, vit Roxanne, une jeune femme débrouillarde qui assure sa survie grâce à de menus larcins. Avec son acolyte Mehdi, elle surnage, au jour le jour, quand soudainement, elle apprend la mort de son ex-mari. Ce dernier, dans sa dernière volonté, lui laisse la charge de leur fille Stella, qu’elle n’a pas vue grandir ni appris à connaître. Devant la violence omniprésente subie par les derniers occupants de la ville, elle choisit de se cacher avec sa fille dans une maison de famille, isolée à la campagne. Pourra-t-elle ainsi échapper à la catastrophe annoncée et nouer, enfin, une relation avec sa fille ? Je suis rentrée avec envie dans ce roman dont toute l’action se déroule en Belgique, pour mon plus grand plaisir, mais me suis trouvée rapidement perplexe. Au cœur du livre s’imbrique un autre livre, le fantastique vient bousculer la science-fiction, et c’est troublant pour la lectrice un peu mono-maniaque que je...
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